Benjamin GUILLAUME

 

 

Benjamin GUILLAUME

 

 

Benjamin Guillaume est né en Nouvelle Calédonie, et y a passé toute son adolescence.

 

Un désir de s’éloigner de l’île et de se former en tant que comédien l'a poussé à partir étudier au Conservatoire d’Art Dramatique d’Avignon en 2004 où il rencontre Julien Assemat, Héléna Vautrin et... Myrtille Bastard.

 

Passionné par le Moyen Age, il a trouvé en Europe de quoi assouvir sa soif de savoir.

 

En décembre 2006, il participe à la création de la Compagnie Afikamaya et participe à plusieurs créations et tournées pour les spectacles : "Baraï chom ast, fragments de femmes", "C'est comme ça" et pour les Animations médiévales.

 

Dès 2009, il se lance à corps perdu dans le théâtre médiéval de rue avec la Compagnie Afikamaya.

Entre 2011 et 2012, il diversifia son champs d'intervention en se lançant également dans les Animations Renaissance, Grand Siècle, Pirates et Belle Epoque Europe et Far West.

 

Auteur, réalisateur, poète et musicien à ses heures perdues, il cherche sans cesse à trouver de nouveaux moyens d’expression afin d'exprimer son « poème intérieur ». C’est sur cette idée qu’il créa « La Danse de lame »… Mais sa quête ne s’arrête pas là, car il estime n’avoir fait qu’un pas de fourmi dans l’habitat d’un Géant.

 

Il se lance donc dans la création d'un monologue, un « seul en scène », sur un jeune croisé parti en orient pour laver ses péchés : « Tout ça pour des prunes.»

 

 

En 2009, il réalisa son premier court-métrage de science fiction :

« Contaminés », qui fut projeté pour la première fois au Festival du film émergeant de Cavaillon. Mais ce n'était qu'un début! Il réalisa ensuite "Le Secret de la boîte" en 2011 et "L'Appel du devoir" en 2012.

 

Dans sa boite à malices, il a des tonnes de projets en tous genres, allant du jeu vidéo à la série télé, en passant par des romans...n’hésitez pas à le faire parler de toutes ses étrangetés, car même s'il est pudique, il n’attend que ça!

 

Il va très prochainement travailler avec la Compagnie Le Chien au croisement sur "Caligula" de Camus, dans une mise en scène de Julien Assemat.